Surnom :
aucun, t'as un prénom en quatre lettres, sérieux les gens doivent vraiment s'ennuyer pour essayer de raccourcir un prénom déjà aussi court.
Age, date de naissance :
vingt sept ans, par chance tu es encore jeune et tu as encore le temps de te reconstruire. tu es née le
premier avril mille neuf cent quatre vingt quatorze, à ce demander si naître le jour du poisson d'avril n'a pas eu un impact sur ta vie.
Lieu de naissance, origines : tu as poussée ton premier cri à
san francisco, cette magnifique ville que tu as fuis.
française de part ta mère et
américaine de part ton père, tu parles les deux langues.
Métier, $$$ : tu ne pensais pas y arriver, mais tu es
avocate spécialisé dans les droits de la famille particulièrement les violences conjugales. tu gagnes de ce fait
extrêmement bien ta vie.
Orientation sexuelle : tu n'as jamais caché ta préférence pour les courbes
masculines qui ont tendance à très vite te charmer.
Statut civil :
mariée officiellement, mais tu es
célibataire depuis cinq ans maintenant.
A Kurland depuis ? : il y a
quatre ans, tu as fini par cesser ta fuite pour te poser dans cette ville où tu pensais pouvoir te cacher.
Caractère : Une véritable tornade, ravageant tout sur son passage. Perçue comme étant une fille
mystérieuse, il n'y a que peu de personnes qui peuvent se venter de la connaître réellement. Une vrai
manipulatrice, prête à tout pour obtenir ce qu’elle veut. On dit qu’elle est une fille qui n’
accorde que très peu sa confiance et
piquante. Réalité ou idée fausse ? Elle s'en moque clairement.
Rancunière, quand on l’à trahi s’est terminé, elle ne croit pas au deuxième chance.
Franche et
grande gueule, elle dira les choses telles quelles sont et sans pincette. Certains ressortiront le pire en elle, la poussant à montrer le pire de ces visages. Alors que d'autres parviendront à atteindre la meilleure partie et verront une fille
sociable et
loyale envers ceux qu’elle aime vraiment. Si elle peut vraiment aimer quelqu’un.
Célébrité :
mara lafontan.
the first time
◗ Portrait
une date - le quatorze février deux mille seize.
un animal - le guépard.
une fleur - une rose.
une couleur - rouge.
un film - comme cendrillon.
une chanson - irreplaceable.
un instrument - le violon.
un bruit - l'orage.
◗ Vracs
Ta vie, elle a commencé un premier avril et t'as jamais eu chance après ça. Pourtant, tu peux pas dire que t'as eu une vie difficile. Tes parents, ils t'ont attendu pendant des années, tu étais tellement désirée. Le jour où enfin ils ont apprit que tu allais venir au monde, rien n'aurait pu les rendre aussi heureux. Ils étaient toujours présent derrière toi, ils te surprotégeaient comme si tu étais une poupée de porcelaine. Ils voulaient que tu leurs dises tout. Leur amour à fini par t'étouffer, c'était trop et tu n'arrivais pas à vivre ta propre vie. Très vite tout ça à impacter ma personnalité, tu t'es mise à croire que la vie était belle et sans problème. Une fille sous influence qui vivait une vie bien trop routinière.
T'as vu ta vie se transformer en cauchemar à ton adolescence, t'es quinze ans et la première soirée où tu avais réussi à aller. C'est ta naïveté et ce que tes parents avaient fait de toi qui te conduire à ce moment précis. Il y a eu cette fête organisée par la fille la plus populaire, celle dont tout le monde espère avoir une invitation. Toi, t'as vraiment cru à ce qu'elle te disait, qu'elle t'appréciait et qu'elle avait envie que tu viennes. Tu aurais dû te méfier, elle était si gentille. Maintenant, tu réalises pourquoi. Elle t'a présente à Joshua, le garçon pour qui tu craquais secrètement. Tout s'est passé si vite cette nuit là, tu te souviens avoir prit la main de Joshua et de l'avoir suivi jusque dans une chambre à l'étage. T'as pas réfléchi t'as simplement pensé que tu pourrais peut-être enfin lui parler. Une chose en entraînant une autre, vous vous êtes embrassés et t'étais sur un petit nuage. Joshua, il a pas voulu s'arrêter là, il en a voulu plus. T'as pas osé lui dire non, alors tu t'es déshabiller et tu l'as laissé te toucher. Jusqu'à ce que tu vois la petite lumière rouge clignoter au niveau de l'écran d'ordinateur. Tu étais en train de te faire filmer en direct, vivant la plus grande des humiliations. Ton monde s'est effondré ce jour là. Mes parents si adorable qu'ils étaient, on prit la décision de t'envoyer chez un psychologue et c'est sans doute la seule mauvaise décision qu'ils aient prise.
Chaque jours dans la salle d'attente du psychologue, il y avait ce garçon avec toi. Il était plus âgé, toi t'avais seize ans et lui il en avait vingt. Vous étiez tous les jours dans la même salle d'attente à vous observez silencieusement. Et tu es tombée amoureuse pour la première fois, quand tu pensais que tu pensais que ça serait jamais possible. L'amour n'a jamais été connu pour être fair-play, alors toi il a fallu que tu t'embarques dans l'amour le plus destructeur qui soit. Très vite, il a eu une emprise sur toi que tu n'as pas réussi à comprendre. Il arrivait à contrôler chacun de tes faits et gestes, capable de te faire faire ce que tu ne voulais pas. Tu étais prête à tout pour lui plaire, prête à tout pour ne jamais avoir à le perdre, ouais, t'aurais fait n'importe quoi. Et c'est sans doute à ce moment là qu'il a comprit et qu'il a réellement prit le dessus sur toi. L'homme gentil et romantique n'était qu'une façade pour que tu tombes entre ses mains. — Regarde toi deux minutes, t’es beaucoup trop grosse. — Tu sais très bien que je te garde parce que personne d'autre voudra de toi. Tu sers à rien. — Tu sens le pathétique à des milliers de kilomètre. — T’es tellement insignifiante sans déconner, tu me fascines. Du lynchage sept jour sur sept, il avait cette capacité de te rabaisser en permanence et toi tu te sentais comme une moins que rien. Le pire dans tout ça, c''est que tu t'es mise à y croire à ses paroles. Et tu y crois encore aujourd'hui. Tu laissais juste faire parce que t’étais persuadée de ne pas avoir le choix. T’étais comme prise au piège, incapable de te sortir de tout ça. T’essayais même pas parce qu’au fond, ça n’avait plus vraiment d’importance. On t’avait prouvé à mainte reprise que tu n’avais pas le droit à ce bonheur auquel tu pouvais aspirer, à quoi bon se battre dans le vide pas vrai ? Tu l’avais laissé faire, tu l’avais laissé effacer tout ce qu’il pouvait y avoir bon en toi. Il t'a même épousée pour être sûre que tu restes. Alors t'as dit oui parce que t’étais jamais assez bien tu ne te comportais jamais de la bonne façon. Il te le répétait chaque jours. Jusqu’à ce que le dernier rempart en toi se brise pour de bon. Et tu ne cherchais même pas à lutter, parce qu'au fond, t’étais juste fatiguée.
Puis il y a eu la fois de trop. La fois où après un énième reproche, tu te risquais à l’envoyer balader. T’étais pas dans un bon jour diras-t-on. Et tu pourrais jamais décrire la colère sur son visage ni même l’acharnement par la suite. L’enfer, le calvaire, jusqu’à ce que tu prennes de nouveau la fuite. Le jour de la st valentin, tu as mis des somnifères dans son verre et t'as réussi à le quitter. Pendant un an, tu as fais tous les petits hôtels sur les routes pour être sûre qu'il ne te retrouve pas. T'as changé de couleurs de cheveux quatre fois et de coupe de cheveux, tu ne les comptes plus. Puis t'as trouvé cette ville et t'as essayé de te poser parce que t'avais tes études à terminé et que t'en avais marre. Tu as changé et tu t'es mise à douter de tout et de tous le monde. Avocate pour défendre toutes ses femmes qui comme toi avait vécue l'horreur. Depuis quatre ans, tu as retrouvé une vie stable, mais tu as toujours peur que Roman te retrouve après tout tu es toujours sa femme.